Les chaînes de télévision sont en ébullition. Alors que le discours de la reine, bravant la censure grâce aux aléas du direct, est encore en train d'être digéré par la population, voilà qu'un nouvel événement survient. C'est l'institut Lynderly pour jeunes talents qui fut le lieu de ce premier coup de théâtre. Les acteurs ? Une quinzaine d'élèves et de professeurs. Cette sympathie indécente envers la monarchie agace. Poings levés, les manifestants dénoncent l'hypocrisie de l'élite envers ses relations avec la capitale. Les voix s'élèvent, couvrant presque la propagande valloise. Les cours restent d'actualité même si les couloirs grouillent désormais d'uniformes des autorités.

La Division reste pour le moment dans l'ombre ; il semblerait qu'elle profite de cette opportunité pour tenter de repérer une possible Résistance (re)naissante. Mais les élites avalent mal les symboles éparpillés de ces revendications. Sur tous les murs (ou presque) apparaissent la couronne grossière, nouveau symbole d'une génération frustrée.  En effet, la plupart s'identifient dans les mots d'ALINOR TARGARYEN, la souveraine, désireuse d'ouvrir les frontières et d'accroître les libertés des Westerosi. Puis les jours passent et plus les jeunes paraissent audacieux. Les Aigles - la police du Val - est de plus en plus impatiente et les arrestations commencent à se multiplier... On parle d'une possible fermeture de l'INSTITUT LYNDERLY qui tient le coup pour l'instant.

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